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TFSC EN MODE COUPE DU MONDE 2018 : J-2

 L'Article


J-2

On ne s’en rend pas forcément compte parce que ma génération y a été habituée mais la France s’est qualifiée – sans trop trembler, pour une fois – pour une sixième Coupe du Monde d’affilée, ce qui la place dans le concert des grandes nations qui ne ratent (presque) jamais le rendez-vous planétaire. Cela nous semble normal mais parlez-en aux fans de football dans les années soixante qui n’ont vu qu’une seule Coupe du Monde avec la France (en 1966) entre 1958 et 1978. De ce côté-là, on peut s’estimer chanceux car cette compétition sans son pays de naissance qualifié, ça ne peut pas avoir la même saveur… D’autant que, honnêtement, la France fait partie des sérieux outsiders et va en tout cas en Russie pour jouer le titre. Il n’y a pas eu d’objectifs officiels annoncés même si, comme pour l’Euro 2016, une demi-finale semble être un horizon à la fois réaliste et satisfaisant compte-tenu du plateau. Mais on en espère toujours plus, jusqu’à voir Hugo Lloris soulever le trophée dans un peu plus d’un mois dans le ciel moscovite... Ainsi, on ferait plaisir au Président Macron pour qui une compétition n'est réussie que si elle est gagnée...

Quelles sont les clés pour voir l’équipe de France triompher le 15 juillet prochain ?

OUBLIER LE SOUVENIR DE 1998

Depuis quelques semaines, la France se trouve en plein revival de l’épopée des Bleus il y a vingt ans à l’occasion de « son » Mondial, finalement remporté. On entend des reportages à la radio, TF1 ou France 2 ont fait des soirées spéciales avec des documentaires « inédits », les Champions du Monde sont interrogés à tout va… D’une certaine façon, c’est assez logique car il s’agit d’un événement majeur pour l’histoire du sport en France (et même pour la France tout court, soyons fou) mais, personnellement, et au risque de casser l'ambiance, ça me dérange un peu et ceci pour au moins deux raisons. La première est que tous ces témoignages sont faits après coup et cette « relecture » de l’événement alors que le résultat (positif) est connu me gêne. C’est pourquoi j’ai toujours eu un peu de mal avec Les yeux dans les Bleus, par exemple alors que c'est un documentaire mythique pour beaucoup de monde. Aurait-on sorti le film de la même manière si la France avait été sortie aux tirs aux buts contre les Italiens en quart de finale ? Je pense que la réponse est dans la question… Mais, surtout, les Bleus de 2018 ont une histoire à vivre et celle-ci n’a rien à voir avec celle de 1998. On a même dans la sélection un joueur qui n’était pas né en juillet 98 (Kylian Mbappé), c’est pour dire… Et quand je vois que des instituts de sondage ont l’idée de demander « à un panel représentatif » s’ils préfèrent les Bleus de 1998 ou ceux de 2018, je me dis que les comparaisons vont encore continuer longtemps… Elles sont à la fois absurdes et stériles et ne servent pas du tout les intérêts d’une nouvelle génération qui doit écrire sa propre histoire.

Cétait il y a vingt ans

Oui, c'était magique, mais c'était il y a vingt ans maintenant...


GARDER CETTE FORME DE SÉRÉNITÉ

Quand on se souvient de la préparation plus que chaotique de l’Euro 2016 – entre affaire extra-sportive (Valbuena-Benzema), vraies-fausses suspensions (l'épisode Sakho) et blessures en tout genre (dont celle de Varane, vice-capitaine) –, on peut se dire que les derniers mois ont été plutôt calmes pour Didier Deschamps. Mis à part le débat sur la présence de Karim Benzema qui refait surface de temps en temps de manière épisodique, aucun nuage n’est vraiment venu ternir le ciel de l’Equipe de France lors de ces dernières semaines. Et même le choix le plus fort dans la sélection (prendre N’Zonzi plutôt que Rabiot) a finalement été validé par l’attitude assez incroyable du joueur parisien qui l’a disqualifié aux yeux de l’opinion publique et qui a finalement conforté le sélectionneur dans ses choix. Ce sont même plutôt les bonnes nouvelles qui ont accompagné la montée en puissance des Bleus vers le Mondial, notamment les retours de blessures plus rapides que prévues de Benjamin Mendy ou Djibril Sidibé. Alors, oui, il y a forcément des débats sur le système de jeu et les hommes à titulariser et cela continuera sans doute pendant toute la durée de la compétition mais tant que cela reste à ce niveau, c’est que les choses vont plutôt bien. J’espère vraiment qu’aucune question parasite ne viendra polluer l’Equipe de France pendant le prochain mois…

Faire confiance

Il ne faut pas compter sur l'expression du visage de Didier Deschamps pour savoir s'il est serein ou non...


DÉPASSER UNE CERTAINE INEXPÉRIENCE DU GROUPE

On peut faire dire ce que l’on veut aux chiffres mais certains sont tout de même parlants. Des trente-deux sélections, la France est la plus jeune (avec le Nigéria) avec environ vingt-six ans de moyenne d’âge. C’est un fait qui ne veut pas forcément tout dire car on peut être jeune mais avoir une grande expérience. Raphaël Varane, par exemple, n’a que vingt-cinq ans mais il joue depuis ses dix-huit ans au Real Madrid et a été titulaire lors de trois finales de Ligue des Champions victorieuses, rien que ça. Par contre, ce qui est bien plus étonnant, ce sont les proportions dans lesquelles, en quatre ans, l’équipe de France, qui paraissait déjà assez jeune au Brésil, s’est renouvelée. En effet, il ne reste que six joueurs déjà présents dans le groupe en 2014 (Lloris, Varane, Matuidi, Pogba, Giroud et Griezmann). Plus étonnant encore, ils ne sont que neuf finalistes de l’Euro - dont  six titulaires du match - rescapés (contre treize portugais par exemple). Evidemment, les blessures ou les états de forme variant d’une année sur l’autre peuvent expliquer cette évolution mais, au total, ils sont donc treize Français pour qui c’est le premier tournoi international, ce qui est colossal. D’une certaine façon, on peut se réjouir en vantant le formidable vivier de joueurs dans lequel le sélectionneur a le loisir de faire des choix mais il me semble quand même que cette équipe manque de tauliers, de joueurs habitués à ces compétitions qui ne ressemblent à aucune autre - notamment quand arrivent les matchs à élimination directe - et capables de canaliser le groupe sur une durée que l’on espère la plus longue possible,. Ainsi, le forfait d’un joueur expérimenté comme Laurent Koscielny est un coup dur pour l’équipe mais encore plus pour le groupe dans sa globalité. Il reste à espérer que cette insouciance qui caractérise souvent la jeunesse et l’inexpérience puisse porter ses fruits !

Dembélé-Mbappé

Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé, à peine quarante ans à eux deux...


TROUVER UN ÉQUILIBRE D'ÉQUIPE

On ne cesse de le répéter – de sorte que c’est même devenu un gimmick de journaliste sportif –, Didier Deschamps est un entraîneur pragmatique. Ce n’est donc pas un dogmatique qui cherche à tout prix à imposer sa vision du football mais il s’adapte à la fois aux forces qu’il a sous la main mais également à l’adversaire. Même si son entêtement à refuser de parler de « style de jeu » peut parfois m’agacer, il faut s’en tenir aux faits et observer qu’il a globalement plutôt réussi sa carrière jusqu’à maintenant avec ces principes. Et il n’est pas besoin de beaucoup de temps pour se rendre compte que, à l’heure actuelle, les principaux atouts de l’Equipe de France se trouvent bien plus en attaque que dans le secteur défensif. Avec des talents de la veine de Griezmann, Mbappé, Lemar ou Dembélé (même si ce dernier a plus de mal à l’exprimer avec les Bleus), l’idée serait ainsi de favoriser l’offensive, même si ce n’est pas forcément dans la culture française (qui a gagné la Coupe du Monde avec trois milieux défensifs, rappelons-le). L’équipe type la plus intéressante – avec ou sans Giroud notamment,  en 4-2-3-1, en 4-3-3, ou en 4-3-1-2 – est encore assez compliquée à trouver car le choix du système et celui des joueurs impacte l’équilibre global de l’équipe. En effet, Mbappé comme Dembélé ne sont pas des adeptes du replacement (Lemar est plus rigoureux de ce côté-là) et nos latéraux potentiels titulaires – Sidibé à droite et Mendy à gauche – sont plutôt meilleurs offensivement que défensivement. Ainsi, le rôle du milieu de terrain, et notamment de N’Golo Kanté, en tant que sentinelle (seul ou associé à Matuidi, Tolisso ou Pogba) sera de toute façon absolument essentiel pour essayer de colmater toutes les brèches qui seront forcément créées et mettre sur orbite nos flèches offensives… Bref, la manière dont l’équipe de France va évoluer au cours de ce tournoi n’est pas complètement définie mais il est presque certain qu’elle devra compter avant tout sur ses qualités offensives, notamment en jeu de transition, pour briller.

Si ça ne tenait qu'à moi (et je ne sais pas tout ce qui se passe au sein du groupe et les états de forme de chacun), j'aurais tendance à faire jouer l'équipe de France de la manière suivante : 

Lloris

Pavard - Varane - Umtiti - Hernandez

Kanté - Tolisso

Mbappé - Griezmann - Lemar

Giroud

Le plan de jeu

En exclusivité, voici le plan de jeu des Bleus pour cet Euro !


GÉRER LE PREMIER TOUR

A l’issue du tirage au sort, on ne peut pas dire que l’on se soit trouvé franchement malchanceux… Même si le Danemark, le Pérou et, dans une moindre mesure, l’Australie, sont des adversaires qu’il ne faut pas prendre à la légère et qui, chacun à leur manière, peuvent poser des problèmes aux Bleus, les possibilités de voir un groupe (bien) plus compliqué étaient tout même plus fortes. Et le calendrier, qui propose des difficultés  a priori graduelles (Australie, puis Pérou et enfin Danemark), n’est pas non plus inintéressant. Pour dire les choses franchement, si la France joue à son niveau, elle devrait sortir assez tranquillement du groupe. L’important sera donc de bien gérer ces trois premiers matchs car les choses devraient logiquement se gâter très rapidement dès l’arrivée des matchs couperets (avec la Croatie ou l’Argentine). Ainsi ceux-ci doivent permettre une montée en puissance des joueurs, tout en pouvant gérer les éventuels risques de suspension (au deuxième carton jaune, on rate le match suivant) et les états de fatigue ou en essayant des associations de joueurs inédites. Après, quand on est lancé dans la grande lessiveuse de la phase finale, il n’est plus vraiment possible de gérer quoi que ce soit et c’est mieux d’avoir pu profiter du premier tour pour être parfaitement au point. Même si l’exemple de l’Euro 2016 nous a montré que l’on pouvait changer de joueurs et même d’organisation en cours de matchs couperets…

Moment

Le moment où les choses ont plutôt bien tourné pour la France...


ENFLAMMER LA FRANCE

Je ne cesse de le répéter depuis de nombreuses années et, à chaque grande compétition, les faits me donnent raison : la France n’a aucune culture sportive et les français ne sont pas des supporters dans l’âme. Il faut que les athlètes français gagnent pour qu’il y ait un engouement (voir dernièrement pour le handball ou encore le biathlon). J’ai du mal à m’y faire et ça me rend même un peu triste mais c’est comme ça… Ainsi, comme toujours, on peut être sûr que, si la France n’est pas au moins en quarts de finale, il ne se passera presque rien dans le pays, alors que dans d’autres, le fait que la sélection joue un match en Coupe du Monde déclenche des scènes d’hystérie collective, sans doute disproportionnée, d’ailleurs. Quand on voit que même quand la compétition a lieu en France, le pays a du mal à s’emballer, on peut être certain que les matchs ayant lieu en Russie, ça sera encore plus compliqué pour réchauffer l’ambiance. Bien sûr, on parlera de leur parcours mais l’opinion publique restera largement éloignée de tout cela. Par contre, si quart de finale il doit y avoir, puis demi-finale, puis finale, on  peut être sûr que ces Bleus se découvriront tout plein de supporters, prêts à se peindre des drapeaux sur les joues, à crier leur amour pour « Griezou » et à reprendre tous ensemble le clapping… Si c’est le cas, tant mieux, ça voudra dire que les Bleus ont réussi quelque chose et qu’ils ont entraîné le pays avec eux. Je ne pourrai pas m’empêcher de trouver un peu grotesque tous ces « supporters du succès », comme je les appelle souvent, mais, au moins, on aura un début juillet festif en France. Et il y a peu d’événements qui ouvrent cette potentialité-là !

Des scènes que l'on rêve de revoir

Ce sont forcément des scènes que l'on rêve de revoir...

 

ÉQUIPE-TYPE :

LES JOUEURS DE LIGUE 1

Notre bonne vieille Ligue 1 offre une équipe plus que présentable, et cela même si on enlève les sélectionnés français. On le doit évidemment en grande partie au PSG, qui vampirise une sélection hyper offensive (avec huit joueurs sur onze). Si on excluait les joueurs parisiens, ça serait évidemment d’un niveau bien inférieur…

Titulaires

Les espoirs

Danijel SUBASIC - Monaco (Croatie) :

Assez souverain la saison passée, le gardien croate a connu un exercice bien plus compliqué cette année, avec notamment des petits soucis physiques et quelques boulettes assez malvenues. Il n’en reste pas moins le titulaire incontesté en équipe de Croatie. On ne peut pas dire qu’il fasse partie de la caste des très grands gardiens mais il est capable, sur une compétition d’un mois, d’atteindre un niveau largement décent.

Thomas MEUNIER - Paris Saint Germain (Belgique) :

Certains (dont moi pour être honnête) ont tendance à penser que le Belge était cette année une meilleure option dans le couloir droit de la défense parisienne que le titulaire du poste Daniel Alves. Largement porté vers l’avant et très bon centreur, cet ancien attaquant reconverti latéral n’est pas toujours très sûr défensivement mais il apporte tout de même des garanties suffisantes pour en faire un titulaire avec la Belgique (où le poste est traditionnellement sinistré, il faut bien le dire).

MARQUINHOS - Paris Saint Germain (Brésil) :

En quelques années à Paris, le jeune Brésilien (il vient d’avoir vingt-quatre ans) s’est vraiment imposé aux côtés de son compatriote Thiago Silva, avec déjà plus de deux-cent matchs au compteur. Désormais titulaire incontestable en charnière centrale, il y démontre ses qualités, notamment en termes de vitesse et d’anticipation. Peut-être un peu tendre au duel dans ses « jeunes » années, il a plutôt rectifié le tir et est devenu un défenseur central de classe mondiale, même s'il ne devrait pas être titulaire avec sa sélection, dépassé par Miranda dans la hiérarchie.

Thiago SILVA - Paris Saint Germain (Brésil) :

Parfois raillé pour son côté émotif et ses « craquantes » dans les matchs décisifs (même si, faut-il le rappeler, il était suspendu pour la demi-finale contre l’Allemagne il y a quatre ans), le Brésilien n’en reste pas moins l’un des tous meilleurs défenseurs centraux actuellement sur la planète football. Sa très bonne lecture du jeu lui permet de défendre presque toujours debout et de miser plus sur l’anticipation que sur les tacles. Il est aussi un premier relanceur de grande qualité. Mis sur la touche avec le Brésil, il est revenu en grâce au printemps et sera titulaire en Russie.

Hiroki SAKAI - Marseille (Japon) :

Il est arrivé sur la pointe des pieds à l’été 2016 à Marseille et a finalement fait son trou, notamment sur le côté droit de la défense, même si sa polyvalence lui a également permis de dépanner à gauche. Devenu une véritable idole du Vélodrome avec son but contre Leipzig en quarts de finale de Ligue Europa, il est le symbole de ces latéraux modernes : infatigable, solide défensivement et pas malhabile offensivement. Une jolie surprise.

Giovani LO CELSO - Paris Saint Germain (Argentine) :

Au milieu de l’effectif cinq étoiles du Paris Saint Germain, l’Argentin a mis du temps à se faire une place et a plutôt été utilisé au départ en sentinelle, poste pour lequel son gabarit assez frêle ne l’aide pas beaucoup. En fin de saison, il a pris une autre dimension, rayonnant en tant que relayeur dans le milieu parisien. Très à l’aise techniquement et doté d’une très belle frappe de balle, il a tout pour devenir l’un des maillons essentiels du PSG de demain, et pourquoi pas dès cet été en sélection argentine.

Julian DRAXLER - Paris Saint Germain (Allemagne) :

Utilisé comme joker au PSG, l’Allemand est un formidable joueur de ballon, capable d’évoluer en relayeur (quand l’opposition n’est pas trop forte) ou dans un couloir un peu plus haut. Il n’est pas forcément un véritable finisseur mais est souvent très important dans la construction du jeu. C’est également le cas en équipe d’Allemagne qu’il a emmené en tant que capitaine (et avec un effectif rajeuni) à la victoire lors de la dernière Coupe des Confédérations, étant lui-même élu joueur du tournoi !

Angel DI MARIA - Paris Saint Germain (Argentine) :

Depuis quatre saisons maintenant, on a un peu perdu le formidable joueur qu’était Angel Di Maria lors de sa dernière saison madrilène. Repositionné dans un rôle de relayeur, il avait été le joueur décisif dans la victoire madrilène en Ligue des Champions. Son passage par Manchester puis ses trois années à Paris n’ont pas permis de retrouver ces qualités sur la durée. Parce que, par moments, l’Argentin est capable de prouver qu’il reste un joueur d’une qualité rare !

NEYMAR Jr - Paris Saint Germain (Brésil) :

La nouvelle star de la Ligue 1 depuis l’été dernier est facilement dans le Top 5 des meilleurs joueurs du monde. Même si sa première saison parisienne peut laisser un petit goût d’inachevé avec cette blessure qui l’a privé des trois derniers mois, il n’en reste pas moins un joueur exceptionnel, capable de faire des différences colossales et de débloquer un match à lui tout seul. Le Brésil devra sans doute compter sur un grand Neymar Jr pour remonter sur le toit du monde.

Edinson CAVANI - Paris Saint Germain (Uruguay) :

Il a beau être décrié par certains pour ses occasions ratées ou pour sa technique un peu frustre (comparé à ses coéquipiers, entendons-nous), l’Uruguayen n’en reste pas moins l’un des attaquants de pointe les plus impressionnants. Auteur de 99 buts toutes compétitions confondues depuis deux saisons, il est d’une efficacité qui force l’admiration et, en une touche de balle, il est même assez impressionnant. Mais c’est aussi un formidable joueur d’équipe, jamais avare de ses efforts et capable de faire un sprint de quatre-vingt mètres pour récupérer un ballon.

Radamel FALCAO - Monaco (Colombie) :

On le pensait un peu perdu pour le football depuis sa grave blessure au genou qui l’avait privé de la précédente édition de la Coupe du Monde. Deux années d’errance anglaise (à Manchester United puis Chelsea) et puis un formidable rebond à Monaco l’année dernière puisqu’il a grandement participé au titre et au beau parcours européen. Son début de saison a été tonitruant, la fin un peu moins, mais on a senti qu’il se réservait sans doute un peu pour ne pas revivre les mêmes tourments qu’il y a quatre ans…

 

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