Parce que, parfois, on se fait surprendre alors que l’on n’y était pas préparé du tout…

- Andrew Garfield dans Boy A
- Angelina Jolie peut être une très bonne actrice L’Echange
- Carrey Mulligan dans Une éducation
- Casey Affleck dans L’assassinat de Jesse James par le lâche Robert Ford
- Dans un même film, on peut passer du sublime au pathéatique très rapidement (Black Swan)
- Emile Hirsch dans Into the wild
- Estelle Larrivaz pour son premier film (Le paradis des bêtes) pas évident mais très réussi
- Hafsia Herzi dans La graine et le mulet
- Je dois quand même etre un peu claustrophobe, en tout cas devant Buried
- Jessica Chastain dans The Tree of Life
- Kad Merad peut être un acteur dramatique très crédible dans Je vais bien, ne t’en fais pas
- Le principe du document d’animation avec Valse avec Bachir
- La Route est un livre adpatable, ce à quoi je ne croyasis pas du tout
- Louise Grinberg dans Entre les murs
- Matthias Schoenaerts dans Bullhead
- Paul Dano dans There will be blood
- Steve McQueen, plasticien reconnu et formidable cinéaste avec deux films pas loin d’être parfaits (ici et là)
- Tahar Rahim dans Un prophète
- Un ours peut sortir avec Norah Jones dans Ted
- Zoé Héran dans Tomboy

Parce que, de temps en temps, on en attend plus que ce que l’on va avoir sous les yeux…

- Au-delà de Clint Eastwood parce que ce n’est pas vraiment digne de lui…
- Cédric Klapisch qui semble avoir beaucoup perdu depuis quelques années
- Hafsia Herzi dans Joseph et la fille
- L’adaptation de Bel-Ami : un massacre
- L’art d’aimer du pourtant plutôt sympathique Emmanuel Mouret qui, là, passe complètemnt à côté
- La dame de fer qui s’empare d’une vraie figure (M. Thatcher) pour ne pas en faire grand chose
- La personne aux deux personnes qui exploite trop mal une idée pourtant géniale
- Le Havre dont presque tout le monde disait du bien mais où je pense avoir dormi…
- Les deux adpatations de Blanche Neige (ici et là) dont il n’y a pas grand-chose à tirer
- Les deux Guerres des boutons (ici et là), plutôt mauvaises et qui, en plus, sortent à une semaine d’écart
- Les deux dernières minutes du Harry Potter final, complètement gâchées
- Marie Josée Croze dans Deux jours à tuer
- Miral, deuxième film de Julian Schnabel
- Nine parce qu’avec un tel casting…
- Oncle Bonnmee,… mais je m’y attendais un peu
- Tempête de boulettes géantes parce que j’attendais tellement mieux
- The Tourist, deuxième film de Florian Henckel von Donnertsmark
- Time Out où comment ne pas exploiter une super idée
- Trishna parce que filmer en Inde en en tirer ce film, c’est presque criminel
- Woody Allen don’t j’ai l’impression qu’il bâcle de plus en plus ses films

Parce qu’Excel® est un logiciel complètement fou et que l’on peut vraiment s’y amuser…

- 0 comme le nombre de fois où je suis parti en cours de séance
- 0,25 comme, en poucentage, la proportion de films océaniens, soit le plus petit total pour un continent (1 au total)
- 1 comme le nombre de pays étrangers où je suis allé voir un film (l’Angleterre en l’ocurence)
- 2,265 comme l’écart type entre toutes mes notes
- 4 comme le nombre de jours de suite maximum où je suis allé au cinéma, jamais plus…
- 5,25 comme, en pourcentage, la proportion de films d’animation (21 au total)
- 8 comme le nombre de films réalisés par Clint Eatwood vus sur cette période, soit le réalisateurs que j’ai le plus visionné
- 13,45 comme la moyenne des 146 films français vus
- 13,76 comme la moyenne très exacte des 400 films
- 14 comme la note la plus fréquente (20,25% des fois)
- 14,86 comme la moyenne des 28 drames familiaux, visiblement mon genre préféré
- 15,17 comme la moyenne des 41 films vus à Dijon, ville la mieux « notée »
- 42 comme le nombre de films vus en octobre sur les six années soit le mois le plus prolifique de l’année
- 44 comme le nombre de caractères des deux plus longs titres : Millenium : Les hommes qui n’aimaient pas les femmes et L’Assasinat de Jesse James par le lâche Robert Ford
- 45,25 comme, en pourcentage, la proportion de films des Etats-Unis (181 au total)
- 69,50 comme, en pourcentage, la fréquence des séances à Lyon (soit 278 films au total)
- 100 comme le nombre maximum de films vus en une année – 2012 – et ce n’est pas fini !
- 102 comme le nombre de films vus à l’UGC Ciné Cité, mon cinéma favori (soit 25,50% du total)
- 306 comme le nombre de réalisateurs différents dont j’ai vu des films
- 421 comme le nombre de séances (avec les films revus deux ou trois fois)

Parce que c’est quand même le plus important…

- Amour (M. Haneke)
- Brothers (J. Sheridan)
- De rouille et d’os (J. Audiard)
- Des hommes et des Dieux (X. Beauvois)
- Gran Torino (C. Eastwood)
- Inception (C. Nolan)
- Intouchables (E. Toledano et O. Nakache)
- Je vais bien, ne t’en fais pas (P. Lioret)
- L’Echange (C. Eastwood)
- La nuit nous appartient (J. Gray)
- La vie des autres (F. Henckel von Donnertsmarck)
- Le scaphandre et le papillon (J. Schnabel)
- Lettres d’Iwo Jima (C. Eastwood)
- OSS 117 – Rio ne répond plus (M. Hazanavicius)
- Quelques heures de printemps (S. Brizé)
- Shame (S. McQueen)
- The Tree of Life (T. Malick)
- Toy Story 3 (Pixar)
- True Grit (E. et J. Coen)
- Two Lovers (J. Gray)

Parce qu’on ne dit jamais assez « MERCI »…

- A Clint Eastwood, de m’avoir fait aimer autant le cinéma, notamment grâce à Million Dollar Baby qui reste mon film préféré, encore aujourd’hui ;

- A ceux qui ont commencé à me lire sur Skyrock ;

- A la Carte UGC Illimité, sans laquelle mon budget cinéma ne serait pas ce qu’il est ;

- A ceux qui sont passés au moins une fois sur ce site ;

- Aux heures passées dans le train ou les transports en commun pour relire et paufiner autant que possible mes textes ;

- A ceux qui ont fait des commentaires plus ou moins longs ;

- A Roger Federer, qui, en perdant quelques matchs, m’a parfois donné le temps de voir un film ;

- A ceux qui me demandent conseil avant d’aller au cinéma (même s’il ne faut pas toujours me faire confiance…) ;

- A celui qui a fabriqué ce site et qui le gère ;

- A ceux qui ont lu assidument toutes mes critiques ;

- A Ridley Scott, qui, avec Gladiator, m’a mis ma première grosse claque cinématographique ;

- A tous ceux qui ne mangent pas de pop-corn pendant les séances ;

- A ceux qui ont défendu et qui défendent encore le cinéma L’Eldorado à Dijon ;

- A ceux qui me font parfois remarquer les coquilles et/ou fautes d’orthographe ;

- Aux artistes qui ont pris le temps de discuter après les avant-premières ;

- A mon ordinateur, qui garde précieusement toutes ces critiques et qui ne me les a encore jamais perdues ;

- A tous ceux qui m’ont accompagné au moins une fois au cinéma ;

- Aux Frères Lumière, pour au moins deux raisons ;

- A celle qui est restée souvent toute seule quand j’allais au cinéma ;

- A tous ceux qui liront cette dernière ligne…