Il fallait quand même que je mette cette chanson qui me trotte dans la tête depuis un certain temps maintenant. Au fond, j'adore ce type de musique avec une basse qui a toute sa place et un côté funky. C'est efficace comme tout ici et ça donne envie de danser (même moi, c'est pour dire...) !
Bonne écoute !!
Bien que son nom soit en lien direct avec un grand réalisateur italien (Pier Paolo), il est le neveu d’une autre légende du cinéma italien : Luchino Visconti. Mais Uberto Pasolini s’est plutôt fait connaître comme producteur, rencontrant un grand succès avec The Full Monty. Depuis, il a réalisé un film (Sri Lanka National Handball Team) dont j’avais entendu parler à l’époque de sa sortie mais c’était resté assez confidentiel. Une belle fin est le premier film qui a un peu plus de retentissement.
Ce film met en avant un acteur que l’on a l’habitude de voir car il est un second rôle récurrent du cinéma anglais : il s’agit d’Eddie Marsan et de son physique assez particulier. Je suis content qu’il se voie offrir un vrai premier rôle et je suis persuadé qu’il s’en tirera très bien. A ses côtés, des comédiens anglais moins connus (même si on reconnaît un acteur de Broadchurch).
C’est un long métrage qui part d’une idée quand même pas banale puisque le personnage principal a un drôle de métier : retrouver les proches des disparus morts sans famille connue. Je ne m’étais jamais dit qu’un tel travail...
La jeune Belge est de retour quatre ans après un premier album assez extraordinaire. On trouve toujours cette voix assez exceptionnelle et même si là, le CD est un peu plus électronique que soul, ça tient largement la route. Ce premier single est l'une des nombreuses facettes d'un album qui montre que Selah Sue est déjà bien une très grande artiste !
Bonne écoute !!
Ah, Ryan… C’est le premier film derrière la caméra pour celui qui, grâce à Drive, est revenu sur le devant de la scène. Star très jeune, on lui promettait un avenir brillant mais il s’est quelque peu perdu avant de retrouver le succès grâce à Winding Refn. Depuis, il enchaîne les bons rôles et on le verra même prochainement à l’affiche d’un film de Terrence Malick. Assez tôt intéressé par la réalisation, il a réussi à mener à bien son projet. Mais acteur de talent ne signifie pas forcément réalisateur de talent…
Pour son premier film, Ryan Gosling n’a pas plaisanté avec la distribution puisqu’on retrouve, outre sa compagne Eva Mendes, Christina hendricks (avec qui il avait joué dans Drive), Saoirse Ronan, Ben Mendelsohn (avec qui il avait joué dans The Place beyond the Pines) ou encore Barbara Steele, une vieille actrice italienne connue pour ses films d’horreur. Et le français Reda Kateb est même présent au générique, pour un plus petit rôle.
Basé à Détroit, ce film raconte comment le fils d’une...
Carl Barât, c'est ni plus ni moins que la moitié la moins connue des Libertines. En effet, après diverses embrouilles avec le fameux Pete Doherty (on parle quand même d'un vol de Doherty dans l'appartement de Barât), les deux ont fini par se séparer. Après une expérience avec un groupe, Carl Barât avait sorti un premier album solo remarqué en 2010 (Carl Barat). Il revient cette année doté d'un vrai groupe et avec un album qui vaut le détour, notamment cette chanson assez énorme !
Bonne écoute !!
Depuis presque quarante ans et même s’il n’est pas le metteur en scène français le plus célèbre, Benoît Jacquot s’est construit une filmographie assez impressionnante et, finalement, très hétéroclite. En effet, il est compliqué de le réduire à un style ou à un genre tant il a touché à peu près à tout. De ses deux derniers longs métrages, j’ai beaucoup aimé le premier (Les Adieux à la Reine), beaucoup moins le deuxième (3 Cœurs).
Un casting de choix puisque Benoît Jacquot donne à nouveau le rôle principal à Léa Seydoux qui connaissait avec Les Adieux à la Reine l’un de ses premiers vrais grands rôles dans le cinéma français. Depuis, elle a surtout marqué les esprits dans La vie d’Adèle – chapitres 1 et 2. Vincent Lindon, lui, n’a plus besoin d’être présenté tant il est devenu une valeur sûre. Il retrouve Jacquot pour la quatrième fois.
Adapté pour la quatrième fois au cinéma,...
C'est la chason qui accompagne le générique de fin (complètement barré, d'ailleurs) du film The Voices. Avec sa rythmique à la In the Navy et son petit gimmick au piano, il faut bien dire que les dix premières secondes sont tout simplement légendaires... Et le reste est aussi excessivement drôle. C'est le genre de chansons qui reste très longtemps dans la tête mais qui, en même temps, donne une sacrée pêche !
Bonne écoute !!
Même si je n’avais pas trouvé son précédent film (Le temps de l’aventure) exceptionnel, il n’en restait pas moins qu’il dégageait vraiment quelque chose de pas inintéressant et, même, par moments, d’assez bouleversant. Il faut dire que c’était le cinquième film pour ce réalisateur qui a commencé plutôt jeune (à 25 ans). J’attends donc avec une certaine impatience de voir ce que va pouvoir donner son nouveau long métrage.
Anaïs Demoustier est en train de s’imposer comme l’une des jeunes actrices qui monte vraiment dans le cinéma français. Alors qu’elle était souvent cantonnée à des seconds rôles, elle prouve depuis deux ou trois ans qu’elle peut tenir à elle seul des films (notamment dans Une nouvelle amie, où elle est excellente). Ça fait donc très plaisir de la voir de nouveau en haut de l’affiche. Elle la tient avec Félix Moati (sur lequel je suis bien plus réservé) et Sophie Verbeeck que, pour le coup, je ne connais pas du tout.
Après avoir traité dans son film précédent du coup de...
J'avais découvert ce groupe belge il y a pas mal de temps (et je ne sais plus trop comment, d'ailleurs) avec leur premier album From here to there . C'était vraiment sympathique et j'aimais bien parfois le réécouter. Et puis je suis tombé sur leur nouvel opus, alors qu'ils s'étaient faits un peu oublier (au moins de moi). Franchement, je n'ai pas été déçu car c'est encore un album de qualité, dont je vous laisse découvrir le titre principal.
Bonne écoute !!
Le couple a toujours réalisé ses films ensemble, même pour ce film, alors que Richard Glatzer était très malade (il est d’ailleurs mort la semaine dernière). Les trois précédents longs métrages des deux metteurs en scène n’avaient pas connu un grand succès, que ce soit aux Etats-Unis ou en France. Pourtant, le précédent (The last of Robin Hood) était une évocation des derniers jours d’Errol Flynn, l’inoubliable Robin des Bois de Michael Curtiz (le seul, le vrai, quoi…), ce qui est forcément intéressant.
Actrice talentueuse si l’en est (même si elle a connu un petit « trou d’air » dans les années 2000), Julianne Moore n’avait encore jamais remporté d’Oscar. L’oubli est réparé grâce à son rôle dans ce film, justement. J’attends donc de voir avec impatience ce que ça donne. Avec, en plus, des noms connus comme Kristen Stewart, Alec Baldwin ou encore Kate Bosworth pour le reste de la distribution…
Alors qu’elle est une linguiste renommée, une femme se rend compte qu’elle commence à oublier des mots et se voit diagnostiquer la maladie d’Alzheimer. Elle doit alors se battre pour continuer à vivre,...
