Alors que son père est mort sur une mine anti-personnelle, Bazil devient clochard après que, par erreur, une balle se soit logée dans son cerveau. Il est alors recueilli par une bande prête à tout pour l’aider à détruire les fabricants de ces deux armes.

Plutôt drôle mais sans grand intérêt. Film qui vaut bien plus pour sa galerie de personnages que pour son scénario, un peu trop abracadabrantesque.

Un documentaire qui présente des images des dernières répétitions de Michael Jackson en vue de sa série de concert. C’est ainsi le spectacle en lui-même qui nous est présenté.

C’est assez compliqué de critiquer un tel film. Il est assez intéressant dans le sens où on voit comment Michael Jackson pouvait donner des indications très précises sur ce qu’il voulait. Pour les gens qui apprécient vraiment la musique et l’homme, c’est sans doute différent.

Une adaptation des aventures du petit Nicolas, petit enfant des années soixante qui mène une existence tranquille de fils unique entre ses deux parents qui le couve et sa bande de copains. Jusqu’au jour où il découvre qu’il va avoir un petit frère…

On rigole assez souvent et on ne s’ennuie pas dans cette vraie comédie. Quelques détails assez agaçants.

A la veille de la Première Guerre Mondiale, un petit village allemand est victime d’événements étranges : tentatives de meurtre, agression d’enfants,…

Un film dont je suis sorti vidé, un peu hébété : c’est dire sa force même si elle ne m’est pas apparu tant que ça en cours de visionnage. Une photographie exceptionnelle.

L’histoire amoureuse (et non l’histoire d’amour, attention) entre Marc et Summer. Je crois qu’on ne peut pas en dire vraiment plus…

Un film qui adopte un point de vue assez singulier, ce qui permet une certaine originalité. La réalisation est plutôt audacieuse et réussie pour un premier film de cet ancien réalisateur de clips.

La correspondance épistolaire durant plus de 20 ans entre une jeune australienne qui a huit ans au départ et un quadragénaire obèse vivant à New York et atteint du syndrome d’Asperger.

Pour un film noir, c’est un film noir. La réalisation est plutôt réussie mais l’histoire est un peu trop décousue et s’attarde trop sur le début de l’histoire et pas sur la fin.

Margaret est une rédactrice en chef tyrannique et détestée. Mais lorsqu’on lui annonce que son visa a expiré et qu’elle va devoir rentrer dans son Canada natal, elle décide de faire semblant de se marier avec son souffre douleur favori d’assistant personnel…

Le niveau zéro de la comédie : on voit tout venir à 10 kilomètres, tout est surligné au marqueur par la musique, les gags tombent très souvent à l’eau. Bref…

1981, dans le Moscou contrôlé par le KGB, Grigoriev, un colonel des renseignements russes décident de donner à l’ouest des informations confidentielles sur le régime soviétique. Pour cela, il passe par Pierre Froment, un ingénieur français en poste dans la ville.

Voilà le prototype même du film « plan-plan ». Ca se laisse regarder mais bon, avec le même sujet, il y’avait vraiment moyen de mieux faire.

Hervé se rend en cure pour arrêter son addiction envers l’alcool. Là-bas, malgré sa réticence du début, il y découvre des personnages qui vont réussir à le faire arrêter.

Un film sans fausses notes particulières sur un sujet particulièrement « casse-gueule », même si parfois, certains détails sont un peu agaçants.

En 1941, un groupe se monte autour d’étudiants communistes pour se lancer dans la résistance contre l’oppresseur allemand. Ce groupe sera baptisé « Armée du Crime » par les médias français qui en font un objet de propagande.

Un peu trop brouillon à mon goût et notamment dans la première demi-heure. Mais, bon l’ensemble se tient de façon honnête sans que ce soit non plus le film de l’année.