Celle de l’ascension dans l’univers carcéral d’un jeune homme de 20 ans qui y arrive complètement illettré avant d’être protégé par les corses et de monter lui-même son système basé sur des réseaux qu’il a lui-même constitué.

Ce qui impressionne dans ce film, c’est son réalisme et ceci à tous les niveaux. Ca en fait même un peu peur. Porté par un acteur déjà immense.

En 1941, alors que la France est occupée par les Nazis, le lieutenant Aldo Raine monte un groupe chargé d’éliminer le plus de nazis possible. Ce sont les « Basterds ».

Un film parfois trop bavard, parfois d’une violence extrême, mais lors duquel on ne s’ennuie jamais. De très bonnes scènes.

Carl n’a pas loin de 80 ans quand sa femme meurt. Il décide alors de réaliser un de leurs vieux rêves : partir à la recherche d’un paradis perdu en Amérique du Sud. Il s’envole alors dans sa maison, soulevée à l’aide de milliers de ballons. Ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que, Russell, un jeune scout, se joigne à sa formidable épopée.

Une nouvelle fois visuellement époustouflant, le dernier Pixar pêche un peu par son histoire un peu trop simple et pas assez développée. Cela reste tout de même du très grand art…

Harry Potter revient à Poudlard où le danger de Voldemort se fait de plus en plus présent. Dumbledore va alors tout faire pour apprendre à Harry ce qu’il doit savoir afin de détruire le Maitre du Mal. A cela s’ajoute des inévitables histoires de cœurs qui agitent les cœurs de ces néo-adolescents.

Un divertissement honnête mais où il n’y a pas non plus de quoi sauter au plafond.

John Dillinger est un malfrat qui s’est spécialisé dans les attaques de banque spectaculaires. Alors qu’il tombe amoureux, se lance à sa poursuite les hommes du commandant Purvis, bien décidé à arrêter l’homme et sa bande.

Un film un peu décevant dans la mesure où quand il s’y met vraiment, Michael Mann est capable d’offrir des scènes exceptionnelles. Mais elles sont un peu trop rares… Ca reste quand même très solide.

Hervé est en 3ème et rêve de faire ses premières expériences amoureuses. Mais entre une mère envahissante, des copains pas très futés et les gens de sa classe qui le rejette, rien n’est facile…

Un film volontairement « crado » et qui s’assume ainsi. Comme La Boum était un film générationnel, celui-là risque bien d’en devenir aussi un…

Boris Yellnikoff, scientifique retraité, rumine son aigreur contre la nature humaine, quand le destin lui met dans les pattes Melody Celestine, jeune fille qui débarque du sud et qui va lui changer la vie…

Un tout petit Woody Allen, vraiment…

Mikael Blomkvist, journaliste très réputé en Suède est détruit après une affaire où il perd en diffamation. Henrik Vanger, un grand industriel, fait appel à lui pour éclaircir le mystère de la disparition de sa nièce, Harriet, quarante ans plus tôt. Il est dans cette tâche secondé par Lisbeth Salander, une jeune fille assez étrange…

Une adaptation plutôt honnête même si elle manque un peu de souffle et d’imagination par moments.

Celle d’une famille où cohabitent deux sœurs et un frère, chacun avec leurs caractéristiques, leurs histoires et leurs énervements.

Une comédie française comme on aimerait en voir plus souvent. Si les personnages et certaines situations sont un peu poussés, on rigole très souvent.

Coraline déménage dans une nouvelle maison. Celle-ci s’ouvre alors à elle dans tous ses recoins mais surtout les mystères qu’elle recèle.

Honnêtement, ca va bien une demi heure mais alors, assez vite, on part un peu dans le n’importe quoi et moi, ca me barbe assez vite…