17 AVATAR
- Critique
- Science-fiction
- 3D
Lors de certaines scènes, on ne peut se dire que : « Whaou ! », tellement les images sont magnifiques. Le scénario et certaines idées sont un peu plus discutables. Mais il faut aller le voir parce qu’on a quand même l’impression d’assister à une révolution dans l’histoire du cinéma.
- Timothée
- 22.05.2011, 12:38

Dans un monde dévasté par on ne sait quelle catastrophe, un père et son fils tentent de survivre tout en gardant leur humanité.
Avant de devenir le [i]Duce[/i], Benito Mussolini a eu une amante mais, après la première guerre mondiale, celle-ci disparaît totalement de la vie et de l’histoire officielle. Pourtant, Ida Dalser a un enfant que Mussolini lui-même a reconnu puis désavoué.
Le Vilain (tellement que ça en devient son nom) revient chez sa maman après vingt ans d’absence afin de se planquer. Mais quand celle-ci comprend la vraie nature de son fils, une réelle guerre s’instaure entre les deux.
Stanislas Graf, patron de l’une des plus grandes entreprises françaises, est enlevé et séquestré. S’engage alors une guerre psychologique entre les ravisseurs qui demande une très forte somme d’argent et la famille aidée de la police, tout cela pendant que la vie privée de cet industriel célèbre est étalée au grand jour.
Flint Lockwood est un inventeur raté qui vit dans une ville qui a perdu tout dynamisme depuis la fermeture de la sardinerie, condamnés que sont les habitants à manger uniquement de la sardine. Mais Flint va inventer une machine révolutionnaire : celle qui transforme l’eau en nourriture.
Elle est très simple : 2012 signifie la fin du monde tel que nous le connaissons. Une telle prophétie était annoncée depuis longtemps par les Mayas et elle devient réelle.
L’homme qui se fait appeler Philippe Miller est un escroc qui, dépassé par ses propres mensonges, va mener une ville à de nouveau croire en l’avenir avec la réouverture du chantier d’un tronçon d’autoroute abandonné deux ans plus tôt.
Burt et Verona, jeune couple trentenaire, vont avoir un enfant. Ils décident de partir à travers les Etats-Unis pour rencontrer de la famille ou des amis afin de trouver le meilleur endroit pour éduquer leur future progéniture.
Alekseï Filipov a été un immense chef d’orchestre mais son soutien à ses instrumentistes juifs lui a coûté son poste. Homme de ménage au Bolchoï, il ne laisse pas passer sa chance de se relancer quand le Théâtre du Châtelet propose à cet orchestre légendaire de venir se produire à Paris. Il réunit tous ses anciens compagnons dans cette aventure.