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TimFaitSonCinema

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15  THE SESSIONS

affiche_du_film Mark O’Brien est atteint de polio depuis l’âge de six ans. Cela ne l’a pourtant pas empêché de devenir poète et journaliste. Alors que sa vie se déroule principalement dans un poumon d’acier, il cherche quand même une relation amoureuse…

Un film à la fois intelligent et « doux » sur un sujet pour le moins complexe à traiter. La performance des trois acteurs principaux, et surtout celle de Helen Hunt, donne à ce long métrage une vraie force.

13  SPRING BREAKERS

affiche_du_film Quatre jeunes filles décident de partir en Spring Break, ces grandes fêtes à ciel ouvert où tout est permis. Mais une fois arrivées là-bas, la fête qu’elles étaient venues chercher va quelque peu changer de forme.

Spring breakers n’est pas un objet cinématographique dénué d’intérêt, mais le tout est tellement outrancier, notamment dans la réalisation, pour que je puisse y adhérer complètement.

12  NO

affiche_du_film 1988, Chili. Pour légitimer son pouvoir, le Général Pinochet organise un référendum qui le fera, bien sûr, triompher. Mais le camp du NON s’organise, notamment autour d’un jeune publicitaire qui pose les bases d’une campagne télévisuelle basée sur l’optimisme…

Un choix esthétique discutable et un propos qui manque parfois un peu de fond ne permettent pas à No d’atteindre ce à quoi il pourrait prétendre : être un long métrage réellement passionnant. Personnellement, j’ai beaucoup trop décroché pour que ça me plaise vraiment.

13  AU BOUT DU CONTE

affiche_du_film Une jeune fille croit au grand amour et va le rencontrer en la personne d’un jeune compositeur qui n’a pas vraiment confiance en lui. Le père de celui-ci commence à avoir peur depuis qu’on lui a signifié la date de sa mort et la tante de la jeune fille cherche à devenir comédienne…

Trop foutraque pour être vraiment réussi, Au bout du conte manque d’un vrai fil conducteur. Mais quelques répliques font vraiment mouche et Jean-Pierre Bacri, en homme désabusé par tout, est vraiment excellent.

16  À LA MERVEILLE

affiche_du_film Deux personnes s’aiment, en France, puis partent s’installer aux Etats Unis où leur mariage commence peu à peu à prendre du plomb dans l’aile. Lui, en plus, reprend contact avec une amie d’enfance…

Objet cinématographique difficilement appréhendable et compliqué à expliquer, ce A la merveille m’a plutôt convaincu même s’il m’a manqué de l’émotion pour le faire passer au stade supérieur. Mais, bon, Malick, ça reste quand même très costaud…

12  UNE CHANSON POUR MA MÈRE

affiche_du_film Alors que leur mère est très gravement malade, une famille se réunit autour d’elle-même si les liens ne sont pas toujours faciles entre chacun des membres. Grande fan du chanteur Dave, ils veulent lui offrir quelque chose de la star qui passe le soir même dans le village voisin. Mais le plan ne va pas se dérouler comme prévu…

C’est très loin d’être la comédie du siècle mais ça se laisse regarder gentiment, sans que l’on n’ait trop à pense. Le tout manque quand même cruellement d’originalité dans le scénario et d’un petit peu d’humour supplémentaire. Mais il y a Dave.

13  DES ABEILLES ET DES HOMMES

affiche_du_film Einstein a, paraît-il, dit un jour : « [i]Si les abeilles disparaissent, les humains disparaitront quatre semaines plus tard[/i] ». Observant que de plus en plus d’abeilles meurent dans le monde, le réalisateur part à la recherche de réponses sur ces phénomènes parfois inexpliqués.

Un documentaire plutôt intéressant même s’il est un peu trop fouillis par moments. Mais ça reste un objet somme toute assez classique et sans grand intérêt cinématographique. On touche là les limites inhérentes à un tel documentaire.

9  WEEK-END ROYAL

affiche_du_film Juin 1939, Frankiln Delano Roosevelt s’apprête à accueillir le premier voyage d’un souverain anglais sur le territoire américain. Mais au milieu de toutes ces femmes (sa mère, sa femme, sa secrétaire, sa maitresse), s’occuper de politique international est quelque peu complexe…

Ce Week-end royal est en tout point oubliable. En voulant insérer la petite histoire dans la grande, Roger Michell passe complètement à côté d’un sujet qui pouvait (et qui devait) être beaucoup mieux traité. C’en est même assez désespérant…

13  MÖBIUS

affiche_du_film Alice est une surdouée de la finance qui travaille dans la banque monégasque d’un riche homme d’affaires russe. Elle est recrutée par les services secrets russes pour surveiller ce dernier. Lorsqu’elle rencontre Gregory, le chef de cette mission, les évènements vont prendre une autre tournure.

Vrai-faux film d’espionnage, Möbius ne trouve jamais véritablement son rythme tout en conservant une ambiance assez sombre. Ce n’est pas forcément déplaisant mais, parfois, on aurait peut-être envie d’autre chose. Cécile de France et Jean Dujardin, eux, font le job.

14  ELEFANTE BLANCO

affiche_du_film Après une mission qui se termine mal en Amazonie, le père Nicolas est recueilli par le père Julian qui s’occupe d’un bidonville de Buenos Aires, aidé de Luciana, assistante sociale. Ensemble, ils vont tout faire pour aider les habitants du quartier.

Un film pas inintéressant mais loin d’être exaltant, notamment pour son côté un peu trop « formaté ». Pablo Trapero a quand même un vrai don pour filmer des grandes scènes et Ricardo Darin est toujours aussi bon.