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TimFaitSonCinema

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10  L’HOMME QUI RIT

affiche_du_film Gwynplaine a été défiguré très jeune : une cicatrice donne l’impression qu’il rit en permanence. Abandonné de tous, il est recueilli avec Déa, orpheline aveugle, par Ursus, un forain qui va faire de leur vie un spectacle dont Gwynplaine devient vite une vedette que tout le monde s’arrache.

Trop démonstratif et outrancier, cette adaptation du roman de Victor Hugo est en grande partie ratée. Il n’y a pas grand-chose à en tirer, et même le jeu d’acteurs ne sauve pas vraiment l’ensemble. Première (grosse) déception de l’année.

13  DE L’AUTRE CÔTÉ DU PÉRIPH

affiche_du_film Ousmane Diakité, flic à Bobigny, va devoir coopérer avec François Monge, enquêteur à la Crim et qui se voit déjà commissaire, à propos du meurtre de la femme d’un député. Leurs différences vont-elles faire leur force ?

Une comédie pas dénuée de rythme mais qui manque à la fois d’un peu d’humour et d’un scénario moins facilement décryptable. Le duo Sy-Lafitte, lui, fonctionne plutôt bien même si leurs personnages sont trop caricaturaux.

14  L’ODYSSÉE DE PI

affiche_du_film Pi Patel, alors adulte, raconte à un écrivain son destin hors du commun : celui d’un adolescent qui a survécu dans un radeau et pendant presqu’un an au naufrage d’un cargo qui transportait toute sa famille. Et cela avec un tigre dans l’embarcation…

Si, dans l’ensemble, l’histoire ne m’a pas transporté, on ne peut pas passer outre la beauté visuelle de ce film. Depuis Avatar, on n’avait pas vu autant de soin apporté à une 3D et on en prend quand même plein les mirettes pendant deux heures.

11  LE HOBBIT : UN VOYAGE INATTENDU

affiche_du_film Bilbo le Hobbit se retourne sur sa vie et décide de la raconter à ses prochains. Et c’est notamment l’épisode de la quête menée avec une armée de treize nains pour les aider à récupérer leur royaume qui retient son attention.

Ne rentrant pas du tout dans l’univers, j’ai eu beaucoup de mal à apprécier le long-métrage. Mais, même, en spectateur dépassionné, ce Hobbit me semble bien pauvre, notamment au niveau du scénario, pour revêtir un véritable intérêt. Les suites se feront sans moi.

14  ERNEST ET CÉLESTINE

affiche_du_film Célestine est une petite souris pas satisfaite de la vie qu’on lui prédestine. Un jour, elle rencontre par hasard Ernest, un ours en manque d’affection et de reconnaissance. Entre eux va naître une historie d’amitié qui ne plait pas à grand monde.

Un vrai dessin animé à l’ancienne, mignon comme tout et traversé de quelques très jolis moments. Un film doux comme miel dont il n’y a pas non plus de quoi faire un fromage…

11  TÉLÉ GAUCHO

affiche_du_film Victor rêve de faire du cinéma. Alors qu’il obtient un stage avec une présentatrice de télé à la mode, il est en même temps embauché chez [i]Télé Gaucho[/i], chaîne de quartier dont les membres veulent révolutionner le paysage audiovisuel français.

Beaucoup trop brouillon, ce long-métrage se caractérise surtout par son aspect étonnamment braillard et bordélique. Les acteurs en font tellement que ça devient plus agaçant qu’autre chose. Grosse déception.

17  LES BÊTES DU SUD SAUVAGE

affiche_du_film Dans le bayou, au cœur de la nature et à proximité de la Nouvelle Orléans, vit une jeune fille avec son papa, de plus en plus malade. Un jour, la nature se dérègle et les eaux commencent à monter dangereusement, amenant avec elles les aurochs, terribles créatures…

Onirique, épique et poétique, Les bêtes du sud sauvage ne ressemble pas à grand-chose d’autre et c’est tant mieux. Une œuvre qui permet de révéler un très grand réalisateur mais aussi une jeune actrice extraordinaire. Le très beau film de cette fin d’année.

14  LES MONDES DE RALPH

affiche_du_film Le soir, lorsque les arcades sont éteintes, commence la vraie vie pour les personnages de ces jeux. Ralph est l’un deux et il en a vraiment marre d’être le méchant de service. Il va alors se lancer dans une grande quête pour être reconnu par tous comme un bon gaillard…

Tout comme Rebelle n’était pas vraiment un Pixar traditionnel, Les mondes de Ralph n’est pas un « vrai » Disney. Bourré de références et de petites trouvailles, il pêche néanmoins par un scénario trop basique pour lui permettre d’être un excellent film d’animation. Parce que l’idée est vraiment là.

12  ANNA KARÉNINE

affiche_du_film Fin du dix-neuvième siècle, en Russie. Anna Karénine est mariée à un important homme d’Etat. Mais, tombée sous le charme d’un jeune comte, elle va peu à peu céder à la tentation de l’adultère, ce qui n’est pas sans provoquer des remous dans une société très corsetée.

En faisant du livre Anna Karénine une forme de ballet se déroulant dans un théâtre et où tout est chorégraphié à l’excès, Joe Wright prend un vrai parti pris. Mais il ne l’utilise pas forcément bien, malgré quelques séquences impressionnantes. Keira Knightley, elle, peut s’en donner à cœur joie…

13  COGAN : KILLING THEM SOFTLY

affiche_du_film Alors qu’un braquage a été commis dans un tripot, Cogan, tueur à gages respecté dans le milieu, se voit confier la mission de clarifier un peu les choses et de faire le ménage, si nécessaire.

Assez complexe à appréhender, Cogan : killing them softly, est plus étrange qu’autre chose : un scénario pas loin d’être bidon, des scènes assez formidables mais une impression d’ensemble plus que mitigée.